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TT2
La Défense - Issy Val de Seine

Historique



 Sur la même ligne

Le Tramway Français Standard (TFS)
Prolongement à Bezons
Prolongement à Porte de Versailles
Plan des voies
La signalisation T2
Citadis

 

1875-1997

Les origines

Concédée à la Compagnie de l’Ouest dès 1875, la « ligne des Moulineaux » devait relier Puteaux au Champ de Mars en longeant le fleuve. Mais elle commença son existence de façon bien plus modeste, sous forme d’une courte antenne entre Champ de Mars et Grenelle [1], branchée sur la Petite Ceinture.

La ligne Puteaux - Issy Plaine fut ouverte au service commercial en 1889 par la compagnie de l’Ouest - qui sera absorbée ultérieurement par le réseau de l’Etat. Electrifiée en 1928 dans le cadre de la modernisation du réseau banlieue sous la volonté de Louis Armand, la ligne sera desservie à partir de cette époque par les rames « standard » alimentées par 3ème rail latéral 750 V CC.

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Au temps de la vapeur, un train Champ de Mars - Puteaux dans le secteur de Sèvres-Bellevue
(doc. archives La Vie du Rail)

Les hautes performances du réseau banlieue St-Lazare seront appréciées ainsi par de très nombreux usagers. Cependant le vieillissement et l’inadaptation du troisième rail obligèrent à une rénovation complète des voies et une électrification par caténaire, entamée en 1972 avec le RER A (en 1500 V continu) et sur le reste des lignes SNCF en 25 kV 50 Hz.

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La ligne Puteaux - Issy sur les plans SNCF en 1993 et 2003
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Horaire d’été 1954
extrait de l’indicateur Chaix du 23 mai 1954

Mais deux lignes seront oubliées lors de cette migration opérée en 1977-78 : la ligne d’Auteuil (Pont Cardinet - Auteuil-Boulogne) qui conservera son troisième rail jusqu’en 1985 [2] et la ligne Puteaux - Issy Plaine jusqu’en 1993. Le matériel standard SNCF arrivant à limite d’usure, il fallut d’urgence trouver une solution pour maintenir le service voyageur. C’est ainsi qu’en 1985 [3] des Z 5100 initialement prévues pour la circulation sous 1500 V CC par caténaire furent modifiées (retour à 2 caisses, poses de frotteurs latéraux, etc ...) pour pouvoir circuler sous 750 V CC avec des performances très dégradées. Cette solution provisoire tenait du « bricolage » et impliquait la mise en service d’un autre matériel de manière urgente. Or cette ligne demeurait l’unique survivante d’une technique désormais dépassée et incompatible avec le reste des lignes SNCF, cantonnée aux seules voies métriques (lignes du Mont Blanc et de Cerdagne) et aux métros.

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Affiche SNCF en gare des Coteaux

L’électrification lourde avec caténaire 25 kV avait été étudiée afin d’intégrer une branche « Défense » à la ligne C du RER. Mais son coût étant jugé trop élevé, la SNCF étudia cependant un matériel ad hoc dérivé des MI 79 et 84 qui donnent toute satisfaction sur les lignes A et B du RER : le MI 88, qui devait être bicourant 750 V continu (par troisième rail) et 25 kV/50 Hz (par caténaire) pour assurer des navettes entre Issy Plaine et la Défense mais celui ci ne verra jamais le jour.

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L’Ile de France en l’an 2000 (projets SNCF de 1986)
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Le MI-88 (projet SNCF)

La création du TVS : le Tram Val de Seine

En effet, à cette époque, les autorités de tutelle (STP et collectivités locales) décident la transformation de la ligne en tramway. La desserte ultime par la SNCF était squelettique par manque de matériel et faiblesse des infrastructures, et ne pouvait que difficilement être réhabilitée sans des travaux lourds, avec notamment un terminus reporté à la Défense au lieu de Puteaux. La faiblesse du trafic espéré plaidaient pour une desserte par trains légers, ce qui, pour la SNCF, relevait de la RATP. C’est ainsi que la desserte ferroviaire lourde fut arrêtée le 21 mai 1993 et les Z 5100 modifiées amorties [4].

Débutèrent ensuite les travaux de rénovation, ralentis par le maire de Puteaux de l’époque en raison de problèmes d’alignements de riverains sur l’emprise ferroviaire sur quelques centaines de mètres, ce qui était porteur politiquement au niveau local, semble t-il.

Les travaux furent cependant aisés car la plate-forme était dégagée sur la quasi totalité des emprises futures. Le prolongement de Puteaux à La Défense était principalement situé sur des emprises SNCF déjà disponibles et dont le gros œuvre était achevé ; le reste de la ligne n’était plus desservi. Restait à construire quelques ouvrages d’art et l’atelier d’Issy. Le trafic fret de la ligne était quasiment exclusivement destiné au site de Billancourt (Île Seguin) de Renault, fermé définitivement le 31 mars 1992.

La caténaire fut posée rapidement [5] et la création des points d’arrêt fut engagée. Les tramways étant plus courts et à plancher bas, des quais nouveaux et adaptés furent crées, sauf à Puteaux (voie 2) et la Défense où il fallait s’intégrer dans les anciens quais SNCF. Afin de permettre à tous d’utiliser le nouveau tramway, de nombreux aménagements spécifiques ont été réalisés afin que la ligne soit entièrement accessible aux personnes à mobilité réduite (PMR).

Le coût du chantier se monta à 94,52 millions d’euros, auxquels il convient d’ajouter 41,47 millions d’euros pour les 16 rames TFS (Tramway Français Standard), ce qui donne un ratio entre l’intérêt d’une telle desserte et son coût final (135,99 M€) fort remarquable : 12,03 millions au kilomètre matériel inclus.

La nouvelle desserte fera appel aux rames TFS, déjà en service à l’époque sur la ligne T1 et qui donnent de bons résultats. La ligne sera exploitée par la RATP selon les principes appliqués depuis le retour du tramway : c’est le département Bus qui gérera la ligne T2 et les machinistes viendront du centre bus du Point du Jour. La signalisation et les règles de fonctionnement seront mutadis mutandis les mêmes que sur la ligne T1, avec cependant l’absence d’emprises partagées puisque la ligne est intégralement indépendante de la voirie urbaine (il subsiste cependant 4 passages à niveaux, dont un n’est pas accessible au public). C’est ainsi que la ligne sera mise intégralement en service le 2 septembre 1997. Elle rencontrera dès lors le succès avec un trajet Issy - La Défense en 22 minutes, et une fréquence de 4 à 12 minutes. Enfin, produit direct de l’histoire, la tarification sera celle du bus mais demeure accessible en tarification SNCF en cas de correspondance...

Les différents projets de prolongements

En préalable à toutes les opérations de prolongement l’année 2003 verra l’allongement généralisé des quais pour 15 millions d’euros afin de permettre la circulation commerciale des rames Citadis 302 couplées en unités multiples doubles (UM2) afin de faire face au fort trafic.

-  Prolongement de La Défense vers le Pont de Bezons
-  Prolongement d’Issy Val de Seine vers la Porte de Versailles

La Ligne T2 : un bilan positif

Si la desserte SNCF était catastrophique pour les usagers, on peut observer avec plaisir que la requalification des emprises et la remise en service sous forme de tramway a entraîné un succès retentissant. Ainsi, le cadencement serré de la trame d’exploitation combiné avec la suppression de la rupture de charge imposée à Puteaux fit exploser le trafic au-delà de toutes les espérances, puisque c’est désormais une moyenne de 65.000 voyageurs quotidiens qui empruntent la seconde ligne du tramway RATP. Cela implique de revoir certains choix initiaux puisque le terminus de la Défense sature et offre des conditions de confort et de sécurité en dessous des exigences d’une ligne moderne ; de même, la sous capacité des rames TFS est particulièrement visible lors de la pointe du matin. Un réaménagement d’ampleur de la ligne, avec modification du pôle de La Défense et mise en ligne d’UM de Citadis, devrait résoudre lesdites difficultés pour le début de 2004 - jusqu’à la mise en service des prolongements nord et sud prévus pour 2006 ?


 Par...

Jeff :o)
Grillon du métro

Didier G.

Dernière mise à jour le
8 février 2003.

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 Notes

[1] Sur le site de l’actuelle gare de Boulevard Victor.

[2] Fermeture de cette partie de la Petite Ceinture pour permettre l’éxécution des travaux d’intégration au RER C dans le cadre de l’opération « Vallée de Montmorency - Invalides » (VMI). La ligne sera partiellement réouverte au public en 1988, après électrification par caténaire 1500 V continu et rénovation lourde des infrastructures.

[3] Date du retrait définitif du matériel standard du service commercial sur les lignes d’Auteuil (transfert provisoire par bus de remplacement durant les travaux de l’opération VMI) et d’Issy.

[4] Une partie d’entre elles sont toujours garées sur des voies de débord à Trappes ; même vandalisées et en triste état, elles ne sont donc pas détruites.

[5] Même si on peut regretter l’implantation des poteaux caténaires entre les deux voies, ce qui interdit la desserte ponctuelle de la ligne par du matériel au gabarit UIC (fret).





 Forum

14 message(s) posté(s) à la suite de cet article :
Historique
(1/4) 20 novembre 2006, par Pierrot
> Les MI 88
(2/4) 12 mars 2004, par Mx
Motivations et estimations du trafic
(3/4) 10 mars 2004, par Cramos
Horaires
(4/4) 23 mai 2003, par Martin


 

Historique
20 novembre 2006, par Pierrot   [retour au début des forums]

Bonjour ! Petite question qui me trotte dans la tête... On sait que RFF a été créée dans le but de délester la SNCF de la gestion du réseau ferroviaire, se consacrant alors au transport. Mais qu’en est-il des voies RATP, notamment les RER A et B ? Est-ce la régie qui est propriétaire du réseau ferré ?

Question subsidiaire (et là, on verra le rapport avec l’article) : si c’est la RATP qui est propriétaire de son réseau ferré, et en ajoutant en plus que RFF a été créée en 1997, année de l’ouverture de la ligne T2, doit-on en conclure que la SNCF a cédé son réseau ferré à la RATP dès lors qu’elle avait estimé que c’était à la régie de gérer le TVS ?

Merci par avance ! ;)

  • Historique
    20 novembre 2006, par
    NLE   [retour au début des forums]
    A la lecture de certaines délibérations du STIF, on apprend que suite aux lois de décentralisation, c’est ledit STIF qui est propriétaire du réseau RATP ; sauf qu’un conflit légal l’oppose à l’Etat qui dans les décrets n’a pas cédé l’intégralité ! Pour le T2, celui-ci n’étant pas sur les cartes de RFF je suppose qu’il rentre maintenant dans le même cas que le reste du réseau RATP ?

  • Historique
    24 février 2007   [
    retour au début des forums]

    La SNCF n’a jamais été propriétaire des voies : du fait du régime de concession avant 1983 et avant la création de RFF celles-ci appartenaient à l’Etat qui les affectait à la SNCF.

    S’agissant du RER : les sections ex SNCF appartiennent donc à l’Etat qui les a sorties de la concession de la SNCF dans les années 1960 pour les mettre à dispostion du STIF ; les sections nouvelles (sections centrales et prolongements à Marne la Vallée) réalisées par la RATP sont sa pleine propriété.

    Quant à T1, RFF en est le propriétaire et le met à disposition de la RATP.

> Les MI 88
12 mars 2004, par Mx   [retour au début des forums]

Bonjour,

pouvez vous me dire un peut plus sur l’ex-projet des MI 88 ?J’aimerais savoir à quoi devaient ils ressembler.

D’un autre côté qui n’a rien à voir,je pense que c’est la RATP qui aurait due commender des MI 88 pour remplacer les MS 61 de la ligne A.

Mais,je sais que il y a 10 ans,ils n’était pas question de les réformer comme aujourd’hui et pour l’instant,et même de rajouter de nouvelles rames sur cette ligne,d’autant que la ligne A souffrait déjà de la saturation et qu’il fallait donc inaugurer un matériel mieux adapté face à ce problème.

Dommage que ce projet soit tombé à l’eau !!

  • > Les MI 88
    12 mars 2004, par
    Jolly Jumper   [retour au début des forums]

    « je pense que c’est la RATP qui aurait due commender des MI 88 pour remplacer les MS 61 de la ligne A. »

    Bonjour Non, pas le MI88, impossible, car il était prévu pour fonctionner avec un 3° rail qui n’existe pas sur cette ligne. D’où l’installation des MI84...

    • > Les MI 88
      12 mars 2004, par
      Mx   [retour au début des forums]

      Bonjour,

      Excusez moi,je n’avais pas bien lu l’article des MI 88.En effet,si ils devaient circuler sur un 3e rail,ça change tout,donc,impossibilité de les faire rouler sur la ligne A,d’antant qu’elle était déjà saturée et qu’il fallait donc adapter un matériel plus efficaces face à ce problème d’ou l’installation des MI 2N.

      Cependant, il serait possible de les construire en modifiant leur stucture comme prévu à l’origine,c’est à dire qu’il seraient conçues pour rouler sur 2 rails uniquement,mais ça m’étonnerais que ce projet soit mis en place.

      S’il le serait(ce serait un miracle),ils circuleraient sur la branche de Boissy.

      Merci quand-même !

      • > Les MI 88
        12 mars 2004   [
        retour au début des forums]

        Cependant, il serait possible de les construire en modifiant leur stucture comme prévu à l’origine,c’est à dire qu’il seraient conçues pour rouler sur 2 rails uniquement,mais ça m’étonnerais que ce projet soit mis en place.

        Quel intérêt ? Les rames MI 88 étaient des rames directement dérivées des rames MI 84 dont les performances étaient divisées par deux sous troisième rail, avec un très faible capacité (la moitié d’une rame MI 84), bref aucun intérêt ...

        Le jour ou la régie aura les crédits qu’elle espère des autorités compétentes (Etat et Région IDF) l’ensemble de la ligne A sera équipée soit de MI 84 rénovés soit de MI 2N

        • > Les MI 88
          12 mars 2004, par
          Mx   [retour au début des forums]

          Bonjour,

          Je ne critique absolument pas la RATP de ne pas avoir mis des MI 88 sur la ligne A ! En revanche,vos critères sont formels,comme vous le dites,cela n’a donc aucun intérêt.

          A bon,parce que toute la ligne A n’est équipée que de MI 84 et de MI 2N.Que faites vous des MS 61 ? Ils sont déjà partis de la ligne A ?Vous m’apprenez des choses !

          Pour vous informer,les MS 61 vont être très prochainement rénovés,il n’est pas prévu de les réformer.Des dossiers sont en préparation à ce sujet.

          De toute façon,le problème urgent sur cette ligne est de la dessaturer.

          A ce propos,la nouvelle livraison des MI 2N ne va pas tarder à arriver.(mai 2004)

          Merci pour cette information.

Motivations et estimations du trafic
10 mars 2004, par Cramos   [retour au début des forums]

La desserte ultime par la SNCF était squelettique par manque de matériel et faiblesse des infrastructures

La faiblesse du trafic espéré plaidaient pour une desserte par trains légers, ce qui, pour la SNCF, relevait de la RATP.

Ainsi, le cadencement serré de la trame d’exploitation combiné avec la suppression de la rupture de charge imposée à Puteaux fit exploser le trafic au-delà de toutes les espérances, puisque c’est désormais une moyenne de 65.000 voyageurs quotidiens qui empruntent la seconde ligne du tramway RATP.

A moins que de vouloir dénigrer encore une fois la SNCF (pardon Duplex !) Si je comprends bien, on espérait rien de cette ligne, seule la motivation d’une régie habituée au transports ferrés urbains a pu rétablir un trafic honorable sur cette ligne. Mais n’était-ce pas les pouvoirs publics qui ne voulaient pas de la SNCF comme transporteur urbain ou la SNCF de cette ligne bien peu proche de l’image de marque qu’elle essayait de se faire avec le TGV ?

Aujourd’hui, tout cela a bien changé : Aulnay - Bondy sera exploité par la SNCF et numérotée (et exploitée -presqu’un défi pour la SNCF ?-) comme une ligne de tramway.

  • > Motivations et estimations du trafic
    10 mars 2004, par
    Jeff :o)   [retour au début des forums]

    A moins que de vouloir dénigrer encore une fois la SNCF

    Oui, là ça devient un peu lourd...

    seule la motivation d’une régie habituée au transports ferrés urbains a pu rétablir un trafic honorable sur cette ligne

    Oui et non ; la desserte telle quelle (3ème rail) ne pouvait pas vraiment être mieux assurée (fréquence et vitesse commerciale). Il fallait donc rééquiper la ligne en profondeur. On sentait bien que la future desserte serait de toute façon plus attractive, mais on revenait de tellement loin qu’on s’est trompé de combien (il y a eu des études RATP, SNCF et STP sur le sujet, donc l’un n’est pas nécessairement largement plus à blâmer que les autres). Et compte-tenu de la projection, il était économiquement préférable de choisir une desserte « fer léger » (tramway) que « fer lourd » (RER).

    (C’est un peu simpliste : d’autres arguments plaidaient en la défaveur d’une desserte type RER qui aurait alors été intégrée au RER C comme une branche supplémentaire « La Défense »).

    Ensuite, compte-tenu de la différence de capacité entre un tram et un RER, pour obtenir l’offre de transport calculée comme nécessaire, il fallait environ un tram toutes les 5 minutes contre un RER toutes les 10/15 minutes. Surprise : c’est probablement cette fréquence élevée qui a enclenché une fois pour toutes le cercle vertueux :-) .

    Il ne faut pas oublier que ce qu’on considère aujourd’hui (à nouveau ?) comme une rocade de première importance n’était, il y a 10 ans, qu’une espèce de desserte bucolique et moribonde d’anciennes friches industrielles et de zones parcourues de toute façon par d’autres lignes (Suresnes, St-Cloud, Meudon, Issy...). Le tramway était déjà pour elle un spectaculaire renouveau !

    Mais n’était-ce pas les pouvoirs publics qui ne voulaient pas de la SNCF comme transporteur urbain ou la SNCF de cette ligne bien peu proche de l’image de marque qu’elle essayait de se faire

    Un peu des deux, sans doute. Mais l’argument principal était celui rappelé dans le texte : le transport urbain n’était traditionnellement pas de la compétence de la SNCF, et celle-ci ne souhaitait pas spécialement s’y investir à l’époque. Une fois le choix arrêté sur le mode léger, il était donc naturel que l’exploitation revienne à la RATP (d’autant qu’elle, au contraire, avait déjà acquis une compétence « tramway » avec le T1).

    Pour conclure, si on pouvait élever un peu le débat au-dessus de l’éternelle guéguerre SNCF-RATP (l’un étant par définition bon et l’autre à mettre à l’index, au gré des sensibilités et des dossiers), il me semble que tout le monde y gagnerait. Leur opposition explique certainement une partie de l’histoire des transports régionaux, mais il serait vraiment caricatural de tout vouloir y réduire !

    Bien cordialement.

    • > Motivations et estimations du trafic
      10 mars 2004, par
      Cramos   [retour au début des forums]

      Il fallait environ un tram toutes les 5 minutes contre un RER toutes les 10/15 minutes. Surprise : c’est probablement cette fréquence élevée qui a enclenché une fois pour toutes le cercle vertueux :-) .

      C’est même sur (avec la modernité et donc l’atractivité du matériel etc...) ! (Faisons la même chose sur la branche VMI du , surtout dans Paris intra-muros !)

      on revenait de tellement loin qu’on s’est trompé de combien

      Mais heureusement qu’il y avait encore des personnes qui croyaient à la desserte fer. Ouf !

      Oui, là ça devient un peu lourd...

      La prochaine fois, je présenterai le problème autrement. ;-)

Horaires
23 mai 2003, par Martin   [retour au début des forums]

Il manque les horaires de derniers et premiers T2. Et aussi ceux du RER A !!

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