Hell Yeah! La fureur du lapin mort TEST

Prêt à tout pour reconquérir les joueurs, Sega se lance dans le dématérialisé avec de toutes nouvelles licences. Pour l'aider dans cette entreprise, le développeur français Arkedo lui a concocté un jeu complètement déjanté, comme il en a le secret. C'est ainsi que sorti d'un peu nulle part, Hell Yeah ! fait frémir tous ceux qui ont pu s'en approcher depuis quelques semaines.

Hell Yeah !La prend place au cœur des enfers, dont un lapin démoniaque est le souverain et son fils le prince. Ce dernier dirige les ténèbres d'une patte de fer et sans aucune pitié. Mais il cache un secret un peu honteux, secret qui va bientôt être connu de tous les démons.

Figurez-vous que notre lapin a un faible pour les canards en plastique ! Le scandale éclate lorsqu'un odieux paparazzi capture et diffuse sur l'internet des tréfonds la vidéo d'un bain compromettant. C'est ainsi que commence Hell Yeah ! La Fureur du Lapin Mort, sur cette base… euh, comment dire… complètement délirante. Et la suite des événements l'est encore plus !

Lancé à la recherche des 100 démons ayant déjà vu la vidéo, le prince du mal devra les tuer à l'aide de son arme fétiche, une sorte de scie rotative qui lui sert aussi de moyen de locomotion.

Hell Yeah ! est un mix de jeu de plate-forme et de « tapez-leur tous sur la gueule », composé d'une multitude de niveaux complètement barrés.

Chaque niveau est différent du précédent et chacun a son propre univers. On évite ainsi ce que l'on aurait pu craindre d'un jeu se déroulant dans les enfers : que le trio rouge, noir ou braise soit le seul costume que porte le titre.