Envoyer Imprimer Réagir Société - Article paru
le 6 novembre 1999
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Commerce Quelques combines classiques

Michel-Édouard Leclerc l’a dit : " Au monopoly de la loi Royer, il faut payer ou tricher. " Les grands distributeurs n’hésitent généralement pas longtemps, mais comme ils n’ont guère d’imagination, leurs combines sont notoires :

Chapiteaux miracles : l’installation de piscines gonflables l’été ou de chapiteaux de sapins à Noël sur le parking des supermarchés doit faire l’objet d’une demande spécifique à chaque fois. C’est loin d’être toujours le cas. Dernière victime de l’association En toute franchise : les stands de chrysanthèmes du Leclerc de Plan-de-Campagne.

Cloisons fantômes : c’est la ficelle la plus grossière : déposer une demande de permis de construire de 999 mý pour éviter le passage en CDUC. Et quelques jours après l’ouverture, abattre les cloisons qui séparent la surface de vente de locaux réservés, par exemple, au personnel. Modèle du genre : le Géant Casino de Saint-Victoret.

Entrepôts factices : on l’a tous constaté un jour : les bouteilles d’eau ou de jus de fruits sont souvent sur des palettes disposées dans un recoin du supermarché. Normal, il s’agit d’entrepôts dont la surface échappe aux mètres carrés visés par la CDEC. Leclerc a maximisé le principe en installant à Plan-de-Campagne des magasins de détail entiers dans des hangars… à vocation d’entrepôt.

B. B.

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